Déterminer la symbolique d’un organe
Les livres de biodécodage nous proposent des pistes non exhaustives pour décoder les messages que nous envoie notre corps.
Un point à ne pas perdre de vue quand on se lance dans cette recherche, c’est que nous avons nos propres codes et nos propres valeurs qui vont influer sur la partie du corps ou sur l’organe atteint par la maladie.
Ainsi, plusieurs aspects influent sur la symbolique que l’on attribue à tel ou tel organe :
L’aspect universel
Cela concerne le sens et la fonction que tout un chacun, d’où qu’il vienne, attribue à l ‘organe concerné. Par exemple :
- Les yeux sont faits pour voir. Ex: dans une situation dans laquelle on refuse de voir quelque chose, la cécité ou la baisse de la vue peut apparaitre.
- La peau est faite pour le contact. En cas de conflit de séparation (non-contact), la peau pourra exprimer biologiquement ce conflit.
L’aspect culturel
La culture dans laquelle nous baignons véhicule certaines valeurs et symboles qui influent également. Cela interviendra à un niveau plus fin d’analyse. Par exemple:
- La droite peut représenter le masculin dans une culture, dans une autre le féminin. (Idem pour la gauche)
- L’eau est un symbole de vie (en Afrique par exemple) ou un symbole de mort (dans les pays fréquemment inondés comme le Bangladesh)
- La nuque et les pieds sont des symboles sexuels en Chine. En Europe, ce sera plutôt le majeur.
À partir de là, on comprend bien que des problèmes de pieds en Chine n’auront pas la même symbolique qu’en Europe !
Le déterminisme familial
Chaque famille est aussi marqué par ses symboles. Reprenons notre exemple du pied : dans une famille où un des parents est vendeur de chaussures ou podologue, le pied est le gagne-pain. Dans une autre, le pied représente les voyages, ou encore le contact à la terre des ancêtres (les racines).
Chez un chapelier ou un coiffeur, le gagne-pain sera la tête.
Un problème au pied pour le podologue, ou à la tête pour le chapelier aura donc probablement un lien avec un conflit au travail.
Le vécu personnel
Selon notre vécu propre, on associera les genoux, par exemple, au sport, à la religion ou au ménage.
L’aspect événementiel
On peut considérer que cela fait partie du vécu personnel. Dans cet aspect, un événement particulier marquant (souvent négatif) va associer une partie du corps à un symbole, en lien avec l’événement en question.
Un exemple pour comprendre : Une femme apprend brutalement qu’elle va être licenciée. Elle se lève brusquement et se cogne l’épaule gauche (ou droite) contre une fenêtre ouverte. On appelle cela un Bio-choc : l’événement “licenciement” et les soucis professionnels en général seront à l’avenir associés à l’épaule gauche (ou droite) chez cette dame.
Pour résumer
Quand on recherche la symbolique de nos maux, les livres de biodécodage sont utiles car ils nous proposent des pistes possibles et nous éclairent souvent sur les aspects universels et culturels.
Il faut cependant toujours s’interroger sur ce que l’organe touché représente pour nous. Est-il attaché à une histoire familiale ou personnelle particulière ? C’est ce qui permettra d’affiner nos recherches et d’identifier avec plus de clarté le conflit à l’origine de la maladie.
Dans nos recherches, quand on touche du doigt ce conflit, cela provoque en général une réaction en nous. Ça peut être sous forme d’émotions, de sensations physiques ou aller jusqu’à la révélation ou l’évidence. C’est comme cela qu’on sait qu’on tient le bon bout. Si à l’inverse, le décodage qu’on nous propose ne nous parle pas, c’est que ce n’est surement pas le bon.
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Bibliographie :
Le grand dictionnaire des malaises et des maladies de Jacques Martel
Ouvrages de Christian Flêche